Un toit pour reprendre son envol.

La période la plus vulnérable dans un processus de traitement de la dépendance se situe lors du retour au domicile suite à une thérapie intensive.

La vulnérabilité peut alors prendre plusieurs traits : épisodes d’isolement et d’angoisse, sentiment de honte, détresse ou désespoir profond, qui trop souvent conduisent à la violence familiale, ou civile, et parfois au suicide.

Les troubles liés à l’utilisation de substances ont des répercussions importantes au niveau social, professionnel, familial et personnel. Ils causent d’énormes souffrances ainsi qu'une désorganisation financière, familiale et sociale qui affectent les membres de la famille, les proches et les organisations.

Notre mission est que toute personne dépendante ou alcoolique qui a choisi de se prendre en main ait accès à une Maison Cocon. Notre objectif est d’ouvrir, au cours des prochaines années, plusieurs maisons sur tout le territoire du Québec.

Les principes fondamentaux des Maisons Cocons

01Les maisons sont gérées démocratiquement

02Les maisons sont financièrement autonomes

03Une rechute entraîne une expulsion immédiate

04Aucune restriction de temps quant à la durée du séjour

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Des liens pour se libérer de la dépendance

Les maisons visent à soutenir et encourager ces hommes et ces femmes qui se prennent en main afin que le plus grand nombre d’entre eux demeurent abstinents, trouvent leur place dans la société, s’épanouissent et réalisent leur plein potentiel.

01Consolider les acquis réalisés en thérapie

02Briser la solitude et l'isolement

03Développer son autonomie

04Profiter d’un soutien informel des pairs et d’un encouragement à vivre dans l’abstinence

05Acquérir des attitudes favorables à l’abstinence et à l’accroissement de l’estime de soi

06Avoir suffisamment de temps pour intégrer les apprentissages

Vivre ensemble,
libres ensemble.

Basées sur le concept des maisons Oxford House Inc., les Maisons Cocons proposent un milieu de vie et un environnement qui permettent d'acquérir des assises solides pour s’en sortir.

Selon une étude, 87% des résidents ayant demeuré entre 15 et 18 mois dans une maison Oxford n’ont jamais re-consommé.
(Université Depaul, étude réalisée sur 3 ans)

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